Certificats d’Économie d’Énergie (CEE)
Le guide complet pour financer vos travaux et accélérer votre transition énergétique

En France, des milliards de kWh sont encore perdus chaque année à cause de bâtiments mal isolés, de systèmes de chauffage obsolètes, ou d’installations énergivores. Pourtant, des aides financières existent, portées par le dispositif national des Certificats d’Économie d’Énergie.

En tant qu’entreprise ou gestionnaire, vous avez tout à gagner : réduction des factures, amélioration du confort thermique, respect de la réglementation, valorisation du patrimoine ; chaque opération éligible peut faire l’objet d’une prime énergie, parfois bonifiée par les « Coup de Pouce » selon l’opération et le type de bâtiment.

Dans cet article, découvrez comment profiter pleinement de ce système, en finançant vos projets de rénovation énergétique de manière stratégique, documentée et optimisée et quelles sont les conditions pour en bénéficier.

Qu’est-ce que le dispositif CEE ? 

Mis en place par l’État, ce dispositif réglementaire repose sur une idée simple : impliquer les fournisseurs d’énergie, aussi appelés “obligés”, dans la réduction de la consommation énergétique nationale. Concrètement, ils sont tenus de financer des travaux de rénovation énergétique en contrepartie de certificats prouvant les économies réalisées, exprimées en kWh cumac.

Pour les entreprises et les particuliers, cela signifie que de nombreux projets – remplacement de système de chauffage, isolation thermique, amélioration de la ventilation, remplacement des ouvrants… – peuvent bénéficier d’une prime financière versée directement sous forme de remise sur devis ou virement sur le compte du bénéficiaire.

Quel est le principe de fonctionnement des Certificats d’Économies d’Énergie ?

Un certificat d’économies d’énergie est un document officiel délivré par l’État, qui certifie qu’une opération de rénovation a permis de réaliser un certain volume d’économies d’énergie. Il constitue une unité de mesure du gain énergétique obtenu grâce à un équipement plus performant, une meilleure isolation ou une optimisation du système thermique permettant d’améliorer l’efficacité énergétique du bâtiment. Le dispositif s’inscrit dans une stratégie nationale de maîtrise de la demande énergétique, visant à réduire durablement les consommations tout en accompagnant la transition vers des usages plus sobres et efficaces.

Ce dispositif repose sur un principe d’équité : plus vos travaux ont un impact énergétique fort, plus le montant de l’aide CEE associée est élevé.

Les principes réglementaires : obligations, quotas, kWh cumac

Le dispositif des Certificats d’Économie d’Énergie repose sur un cadre réglementaire précis, défini par l’État, qui impose aux fournisseurs d’énergie — appelés obligés — de réaliser ou de financer un certain volume d’économies d’énergie. Cette obligation est exprimée en kWh cumac, une unité spécifique qui cumule les économies réalisées sur la durée de vie standard d’un équipement ou d’un chantier (en général entre 5 et 30 ans), et actualisées en fonction du temps (kilowatt heure cumac). Chaque période triennale (ou 4 ans ces dernières périodes) fixe un quota national d’économies d’énergie à atteindre (ex. : 2 500 TWh cumac pour la 5e période, 2022–2025). Les obligés peuvent remplir leur obligation soit en menant eux-mêmes des actions d’efficacité énergétique, soit en rachetant des certificats à des tiers (entreprises, bailleurs, collectivités, particuliers…) qui ont réalisé des travaux éligibles. Ce système, encadré par plusieurs arrêtés ministériels et contrôlé par le registre national des CEE officiel EMMY, garantit la traçabilité des actions et incite à des investissements concrets dans la transition énergétique.

Un peu d’histoire : les 5 périodes CEE et la transition vers la 6e

Depuis sa création en 2005, cinq grandes périodes se sont succédées, chacune avec des objectifs plus ambitieux que la précédente.

Frise des périodes du dispositif des CEE

Cette politique de maitrise de l’énergie nationale est encadrée par plusieurs textes législatifs et arrêtés, régulièrement actualisés (décret, loi, arrêté du 28 septembre 2021, etc.). Cela garantit un cadre fiable, connu à l’avance, et une validité claire des opérations réalisées.

Les acteurs clés du dispositif CEE

Le dispositif des CEE repose sur un réseau structuré d’acteurs, chacun ayant un rôle spécifique dans le circuit de financement :

TERA au coeur du dispositif des CEE
  • Les « obligés » sont les fournisseurs d’énergie (EDF, TotalEnergies, Engie, Les Mousquetaires, Carfuel…) chargés de financer les travaux pour satisfaire à leur obligation.
  • Les délégataires et les mandataires : entreprises mandatées par les obligés pour gérer leurs obligations .
  • Les artisans et professionnels RGE : réalisent les travaux dans le respect des normes et fiches standardisées.
  • Les bénéficiaires finaux : particuliers propriétaires ou locataires, entreprises, copropriétés ou collectivités qui réalisent les travaux et reçoivent la prime.
  • Les autorités publiques : le Ministère de la Transition Écologique pilote le dispositif, avec le soutien de l’ADEME pour les aspects techniques.

Ce maillage d’acteurs garantit une application du dispositif encadré, sécurisé, et de plus en plus digitalisé, afin de simplifier les démarches et renforcer la qualité des rénovations financées.

Pour les professionnels, il est essentiel de s’appuyer sur un partenaire reconnu, capable de gérer les modalités techniques et administratives, de la demande à la valorisation des certificats jusqu’au paiement des primes énergie.

À qui s’adressent les Certificats d’Economie d’Energie ?

Maintenant que vous comprenez ce qu’est un CEE, comment il fonctionne et quels sont les acteurs en jeu, voyons comment vous pouvez en bénéficier concrètement, et quels types de travaux sont éligibles à cette aide précieuse.

Particuliers, entreprises, collectivités : qui peut en bénéficier  ?

Le dispositif des CEE a été conçu pour s’adresser à une grande diversité de bénéficiaires, dans le but d’accélérer la rénovation énergétique à tous les niveaux du parc immobilier français.

Vous êtes éligible si vous êtes :

  • ✅ Une entreprise, personne morale : industrie, tertiaire, site logistique, agriculture, transport…
  • ✅ Un propriétaire, locataire ou bailleur (particulier, habitat en résidence principale ou secondaire)
  • ✅ Un syndic de copropriété
  • ✅ Une collectivité territoriale
  • ✅ Un acteur du logement collectif
  • ✅ Une structure publique ou privée gestionnaire de bâtiments d’usage mixte

📌 Important : seuls les travaux réalisés dans des bâtiments existants situés en France sont éligibles. Les constructions neuves et les travaux réalisés en dehors du territoire national sont exclus du dispositif.

💡 Astuce pro : dans le tertiaire et l’industrie, certaines opérations non couvertes par les fiches standardisées peuvent donner lieu à des CEE spécifiques, sur-mesure, à condition de respecter un protocole technique strict.

Conditions d’éligibilité : types de bâtiments, travaux, revenus

Pour être éligible, un projet doit répondre à plusieurs critères cumulatifs, détaillés dans les fiches d’opérations standardisées.Ces critères sont définis dans les fiches d’opérations standardisées, publiées par l’ADEME et le ministère de la Transition écologique, et servent de référentiel technique et administratif.

1. Le type de bâtiment
Le bâtiment concerné doit être existant, c’est-à-dire construit depuis plus de 2 ans au moment des travaux. Cela inclut :

  • Les bâtiments résidentiels, qu’ils soient individuels, collectifs, sociaux ou en copropriété ;
  • Les bâtiments tertiaires (bureaux, établissements scolaires, commerces, hôtels, etc.) ;
  • Les bâtiments industriels ou agricoles, sous certaines conditions spécifiques.

2. La nature des travaux engagés
Les travaux doivent viser une amélioration de la performance énergétique du bâtiment ou du système concerné. Ils doivent :

  • Être conformes aux exigences techniques de la fiche standardisée (niveau de performance, rendement, certification, etc.) ;
  • Être réalisés par un professionnel qualifié, souvent (Reconnu Garant de l’Environnement), notamment en résidentiel.

3. La zone géographique (H1, H2, H3)
La France est divisée en 3 zones climatiques influant directement sur les seuils d’éligibilité et le montant des primes :

  • H1 :H1 : Les zones froides comme le Nord-Est et les régions de montagne bénéficient en général de primes plus élevées.
  • H2 : zones tempérées (Ouest, Centre).
  • H3 : zones chaudes (Sud, littoral).

4. Le profil du bénéficiaire (revenu, statut)

  • En résidentiel : les ménages modestes ou très modestes en situation de précarité énergétique peuvent prétendre à des CEE bonifiés jusqu’à 90 % de prise en charge dans certains cas ;
  • En B2B : les entreprises, bailleurs ou collectivités n’ont pas de critère de revenu, mais doivent respecter les procédures d’incitation préalable et présenter un dossier techniquement conforme.

CEE résidentiel vs  tertiaire vs  industriel : les différences clés

Bien que le mécanisme de base soit le même pour tous, les modalités d’accès, les volumes générés et les procédures varient selon le secteur d’application :

 

Secteur Spécificités Exemples de travaux éligibles
Résidentiel Conditions liées au revenu, CEE « précarité », professionnels RGE obligatoires Isolation, Pompe à chaleur, VMC, fenêtres
Tertiaire Fiches spécifiques, valorisation plus technique, critères surface/usage PAC, système de régulation, éclairage, récupération de chaleur
Industriel Forte proportion d’opérations spécifiques, protocoles techniques sur-mesure Moteurs IE4, procédés

🎯 Objectif : adapter la stratégie CEE à la typologie du bâtiment et au profil du porteur de projet, pour maximiser la prime obtenue.

Zoom sur les ménages modestes et très modestes: bonification « précarité énergétique »

Pour les travaux réalisés dans des logements occupés par des ménages modestes ou très modestes, le dispositif prévoit des bonifications importantes, avec des primes énergie majorées.

Ce mécanisme vise à lutter contre la précarité énergétique, en rendant les rénovations accessibles aux foyers les plus vulnérables. Ces bonifications sont aussi accessibles aux bailleurs sociaux ou aux propriétaires louant à des foyers modestes.

📌 Pour en bénéficier, il faut :

    • Fournir un avis d’imposition ou une attestation de revenus
    • Réaliser les travaux avec un professionnel RGE
    • Cibler des opérations à fort impact : remplacement des systèmes de chauffage utilisant des énergies fossiles (chaudière fioul, gaz, charbon) par des ENR (bois, géothermie, PAC air/eau…), raccordement à un réseau de chaleur et froid , isolation complète, etc…

Quels travaux sont éligibles ?

Voici quelques exemples courants dans le cadre professionnel :

  • Isolation thermique : toitures, combles, planchers bas, murs
  • Chauffage performant : chaudières biomasse, PAC air/eau, PAC eau/eau, PAC air/air, système solaire thermique
  • Remplacement de chauffage fioul par PAC (Coup de Pouce Chauffage)
  • Ventilation : VMC double flux
  • Équipements de programmation : GTB, thermostats connectés, pilotage pièce par pièce
  • Electrification des véhicules de transport
  • Mise en place de déshumidificateurs sous serres agricoles
  • Déstratificateur d’air

📌 À savoir : chaque fiche d’opération précise les critères techniques à respecter (performance, marque, norme, etc.) ainsi que le volume de kWh cumac généré par type d’opération.

Ces fiches précisent :

  • Le type de bâtiment concerné
  • La zone climatique
  • Les performances minimales exigées
  • Les documents justificatifs à fournir
  • Les conditions de mise en œuvre
  • Le nombre de kWh cumac attribué par unité d’opération

👉lien vers le catalogue des fiches standardisées ADEME 

Elles sont mises à jour, modifier régulièrement : il est essentiel de toujours se référer à la version la plus récente.

Comment bénéficier  de la prime CEE ?

Voici les étapes incontournables pour obtenir votre prime CEE  :

Les étapes d'un dossier CEE avec TERA
  1. Identifier les travaux éligibles (avec un audit si besoin)
  2. Faire établir un devis par une entreprise RGE ou reconnu dan son domaine d’activité.
  3. Signer une offre de rachat des CEE avec un obligé ou mandataire avant de signer votre devis.
  4. Faire réaliser les travaux dans les délais et selon les prescriptions techniques.
  5. Rassembler les justificatifs : devis, facture, attestations, photos
  6. Déposer votre dossier à l’obligé par l’intermédiaire de votre mandataire CEE
  7. Recevoir votre prime

📌 À retenir : si vous signez le devis avant d’avoir validé la demande CEE, vous perdez vos droits à la prime. Ce point est capital.

Les documents à fournir

Pour obtenir une prime énergie, il ne suffit pas de réaliser les travaux : encore faut-il fournir un dossier complet et conforme.

Voici la liste des documents obligatoires, que TERA Energie vous aide à rassembler à chaque étape du processus :

  • Le devis signé avant le démarrage des travaux
  • Une preuve d’incitation préalable avant la signature du devis
  • La facture acquittée
  • L’attestation sur l’honneur
  • Les justificatifs d’éligibilité
  • Les fiches techniques des équipements posés
  • Des photos avant/après pour certaines opérations (notamment en résidentiel)

📌 Conseil : chaque opération standardisée a ses propres exigences documentaires. Le moindre oubli ou la moindre erreur peut faire échouer définitivement le dossier.

Financements et cumul des aides

Vous avez identifié vos travaux, compris le mécanisme des Certificats d’Économies d’Énergie et validé votre éligibilité ? Il est temps de parler financement. La prime CEE représente un levier financier stratégique pour réduire le reste à charge de vos opérations. Bien utilisée, elle peut permettre de financer une part significative du coût des travaux, en fonction du type d’équipement, du bâtiment concerné, et de votre situation fiscale.

Le montant de la prime dépend de plusieurs critères, définis dans les fiches standardisées :

  • Le type de travaux réalisé (ex : isolation de toiture vs PAC),
  • La surface ou le volume traité,
  • La zone climatique (H1, H2, H3),
  • Le profil du bénéficiaire (professionnel, bailleur, structure collective…),
  • Le revenu fiscal de référence (pour les opérations sur logement, notamment en résidentiel social ou précarité),
  • Le calcul en kWh cumac est ensuite multiplié par le taux de valorisation négocié avec l’obligé.

Modalités de versement (virement, remise, bon d’achat…)

La prime énergie peut être versée sous différentes formes :

  • Virement bancaire sur le compte du bénéficiaire
  • Remise immédiate sur facture
  • Bon d’achat, avoir ou réduction sur une future opération.
  • ⏳ Délai moyen de traitement : entre 4 et 12 semaines après réception des justificatifs complets.

📌 Conseil pro : faites valider en amont le mode de versement et les délais.

Cumul avec d’autres aides (MaPrimeRénov’, ANAH, TVA réduite, éco-PTZ)

L’un des grands avantages du dispositif , c’est sa compatibilité avec la plupart des autres aides à la rénovation. À condition de respecter l’ordre des démarches, vous pouvez cumuler la prime énergie avec :

 

Aide Cumulable ? Conditions principales
MaPrimeRénov’ ✅ Oui Devis signé après création du dossier
Éco-PTZ ✅ Oui Travaux éligibles et cohérents
TVA réduite 5,5 % ✅ Oui Travaux réalisés par pro RGE
Aides régionales ou locales ✅ Oui Variables selon collectivités
Aides ANAH / Copropriété ✅ Oui Respect des plafonds de ressources et nature du bâtiment

 

📌 À noter : pour certaines aides publiques, le montant de la prime CEE doit être soustrait du coût total des travaux.

Les erreurs fréquentes qui font perdre la prime

Le dispositif des Certificats d’Économie d’Énergie peut paraître simple en apparence mais il cache des pièges redoutables, responsables de dossiers refusés ou de primes non versées.

1. Signer un devis avant validation CEE

C’est la règle d’or du dispositif CEE, et pourtant elle est encore mal connue. Si vous signez un devis de travaux avant d’avoir validé une offre de rachat CEE d’un obligé, votre dossier est automatiquement inéligible.

➡️ Pourquoi ? Le dispositif repose sur la notion « de rôle actif incitatif » : le fournisseur d’énergie doit prouver qu’il a incité à faire les travaux avant leur engagement.

Ce qu’il faut faire :
Toujours demander à votre partenaire  une confirmation écrite de votre éligibilité avant toute signature.

2. Travaux non conformes aux fiches d’opérations standardisées

Les  fiches d’opérations standardisées fixe des conditions techniques précises à respecter (type d’équipement, performances minimales, norme CE, étiquette énergétique, méthode de pose…).

Un seul détail non conforme (ex : mauvaise classe énergétique, isolation partielle au lieu de complète, PAC mal dimensionnée) peut entraîner l’invalidation de votre dossier, même si les travaux ont bien été réalisés.

✅ Bon réflexe :
Avant d’engager des travaux, vérifiez que vous disposez de la dernière version de la fiche standardisée et que l’artisan en connaît les contraintes.

3. Attention aux professionnels non certifiés ou non qualifiés

De nombreux acteurs peu scrupuleux profitent de la manne financière du dispositif pour proposer des offres trompeuses. Cela va de l’artisan non RGE, aux sociétés fantômes qui encaissent la prime puis disparaissent.

Résultat ? Travaux mal réalisés, non éligibles, ou impossible à valoriser. Vous perdez à la fois la qualité, le financement, et parfois la conformité réglementaire.

Exigez toujours :

  • Un artisan RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) ou les références du professionnel dans la catégorie de travaux concernée
  • Un numéro de certification actif au moment de la signature si RGE obligatoire
  • Une vérification du SIRET sur les plateformes officielles (comme FAIRE.gouv.fr, QUALIBAT, ou via TERA Energie).

🧰 Check-list des bons réflexes à adopter

✅ Ne jamais signer un devis sans accord CEE validé
✅ Vérifier la conformité technique aux fiches standardisées
✅ Choisir uniquement des professionnels qualifiés
✅ Conserver tous les justificatifs de l’opération
✅ Se faire accompagner par un interlocuteur unique (comme TERA Energie) pour centraliser, sécuriser et optimiser l’ensemble

CEE = levier stratégique pour les entreprises

Pour les entreprises, les CEE sont un véritable levier stratégique pour structurer des projets à haute valeur ajoutée, avec un impact réel sur les coûts d’exploitation, la conformité réglementaire, la valeur patrimoniale et même l’image de marque.

Audit énergétique subventionné : poser les bases d’un plan rentable

Avant de lancer vos travaux, réalisez un audit énergétique complet de vos bâtiments ou de vos process.

📌 Objectif :Repérer les gisements les plus rentables, estimer le volume de kWh cumac mobilisable et orienter les investissements vers les actions les plus stratégiques.

🎯 À la clé : des projets d’amélioration ciblés, cofinancés, et validés dans un cadre 100 % réglementaire.

Valoriser vos engagements RSE, carbone et développement durable

Intégrer les Certificats d’Économies d’Énergie dans votre politique RSE et votre stratégie de développement durable est bien plus qu’un geste vertueux : c’est un levier stratégique de différenciation.

  • Vous démontrez un engagement concret en faveur de la transition énergétique,
  • Vous valorisez des actions mesurables dans votre bilan carbone,
  • Vous contribuez activement à la réduction des gaz à effet de serre, tout en améliorant vos indicateurs ESG aux yeux des partenaires, clients et investisseurs.

L’avenir du dispositif : vers un CEE 6.0 ?

Concertation 6e période CEE (2026-2030)

En décembre 2025, la cinquième période prendra fin et laissera place à la 6e période du dispositif, prévue pour 2026-2030, est déjà en cours de concertation. Elle prévoit :

  • Une diminution de 55 % des rejets de gaz à effet de serre dans l’atmosphère
  • La réduction de consommation d’énergie finale et une augmentation de la part des énergies renouvelables de la consommation finale brute d’énergie pour atteindre 42%.
  • Une augmentation des objectifs en kwh cumac ,
  • Une simplification de certaines démarches (dématérialisation, délais),
  • Une attention renforcée sur la qualité des travaux et la lutte contre la fraude,
  • L’élargissement à des usages émergents et aux nouveaux secteurs innovants : mobilité bas carbone, rénovation globale des bâtiments (vers des programmes clés en main pour les bâtiments tertiaires), numérique responsable.

📌 TERA Energie suit en temps réel les groupes de travail thématiques organisés par le ministère, pour anticiper les futures opportunités.

 

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